“Violences à cause de la « sourate corona » : le Coran n’interdit pourtant pas l’imitation »

Les musulmans ont décidé que cette liberté de conscience ne devait concerner que les non musulmans qui sont libres d’adhérer à l’islam ou de ne pas y adhérer. Ainsi, le principe coranique souvent mis en avant : «il n’y a pas de contrainte dans la religion » ne concerne finalement pas les musulmans, qui n’ont pas le droit de quitter leur religion au risque d’être accusés d’apostasie. Cela explique pourquoi les lois dans les pays musulmans stipulent la garantie de la liberté de conscience, mais interviennent pour punir les individus au nom de la violation du sacré.