La montée de l’islamisme quelle part de responsabilité pour l’école française



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En France l’idée qui s’est imposée à partir du début des années 1980, parmi les universitaires, est celle qui affirme que l’islamisme c’est l’islam politique, mais ce n’est pas l’islam. Dans mon ouvrage Sortir de l’islamisme, dans lequel je parle d’école française, j’ explique pourquoi cette expression, l’islamisme c’est l’islam politique qui n’est pas l’islam, est non seulement historiquement et théologiquement fausse, mais elle a également des conséquences très négatives dans le domaine de la lutte contre l’islamisme étant donné qu’elle met l’islam à l’abri de toute critique et le présente comme exempt de toute responsabilité quant aux problèmes qui se posent. Elle s’inscrit dans la continuité du projet des islamistes et notamment des Frères musulmans de contrer et d’avorter toute réforme réelle de l’islam dans l’objectif de moderniser les sociétés musulmanes. Les Frères musulmans dès les années 1930 ont répété sans cesse aux musulmans que tous les problèmes qui se posaient dans les sociétés n’étaient pas dus à l’islam, mais seulement aux musulmans et que l’islam était au contraire la solution.

Dans mon ouvrage, je me suis interrogée sur les raisons qui ont poussé ces intellectuels français à être les porte-parole de l’islamisme en Occident. Quelle est leur part de responsabilité dans la montée de l’islamisme dans le monde musulman et en #Occident à laquelle nous assistons aujourd’hui ?


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