« L’islam est la religion de l’État » n’est bénéfique ni pour l’État ni pour l’islam

L’État qui se veut protecteur de la religion se met sur le terrain du religieux et rivalise avec son discours. Il se retrouve ainsi dans une situation l’obligeant à se soucier d’être conforme aux recommandations de la religion au détriment des revendications sociales, culturelles et politiques du peuple.